Par Andréanne Brazeau - analyste, Émile Boisseau-Bouvier - analyste et Anthony Côté-Leduc - relations médias
« Les négociations climatiques de Glasgow seront cruciales, parce qu’elles nous permettront de savoir si nous nous donnerons les moyens de gagner et si nous prenons la partie au sérieux.
Pour le moment, ça ne semble pas être le cas. Pourquoi ? Parce qu’à l’échelle de la planète, nos plans climat actuels nous mènent vers un réchauffement catastrophique de 2,7 °C. C’est comme si notre groupe d’entraîneurs nous dictait de compter deux buts, alors qu’il nous faudrait en réalité en compter cinq pour espérer l’emporter. Les États devront donc présenter des cibles et des plans d’action reflétant cette réalité. »