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Par Marc-André Viau, directeur des relations gouvernementales chez Équiterre ; Étienne Grandmont, Directeur général d'Accès transports viables ; Alexandre Turgeon, directeur général du Conseil régional de l’environnement – région de la Capitale-Nationale ; Sarah V. Doyon, directrice générale de Trajectoire Québec et Charles Bonhomme, spécialiste, communications et affaires publiques, à la Fondation David Suzuki
Afin de minimiser l’impact environnemental de celui-ci, le ministre indiquait dans sa lettre que « très rapidement après sa mise en service, il ne sera[it] plus possible d’acheter un véhicule à essence au Québec. Entre 2035 et 2045, le Québec devrait assister à la conversion de l’essentiel de son parc automobile en véhicules zéro émission. Or, le tunnel Québec-Lévis aura une durée de vie utile de 125 ans. La construction du tunnel sera elle-même carboneutre ». Plusieurs aspects de cette affirmation sont problématiques.